.: Le Forum d'IDEMFOOT :.

XIII a écrit :Un moment il va falloir qu'ils revoient leur règle à la con !!! Ca n'influe en rien le tireur de rentrer sur un penalty !!!

Ben alors pourquoi le defenseur rentre dans la surface?



Hop, fin du débat.

Ce qu'on saura jamais, c'est si l'arbitre aurait fait retirer le péno si Zlatan avait marqué. Mais j'ai comme un doute...

Si Ibra avait marqué, l'arbitre aurait, je pense, accorder le but, laisant la règle de l'avantage en quelque sorte...

manutfc a écrit :Si Ibra avait marqué, l'arbitre aurait, je pense, accorder le but, laisant la règle de l'avantage en quelque sorte...

quel avantage ? Y a autant de parisiens que de lyonnais dans la surface. Car la règle n'a rien à voir avec le premier qui rentre, mais juste qu'il n'y ait aucun joueur dans la surface...

Pour moi, le premier a faire "faute" est celui qui entre en premier dans la surface. Ensuite, sachant que cette règle n'est pas souvent appliquée, les joueurs de l'autre équipe rentre forcément dans la surface. A partir de là, si l'arbitre applique la règle, il doit sanctionner la première équipe a être entrée.
Après, je suis entièrement d'accord sur le fait qu'il faudrait uniformiser les règles et décider de faire retirer 90% des pénaltys et que comme ce n'est pas le cas, il y'a toujours une équipe lésée quand l'arbitre décide de faire retirer le pénalty. (également quand le goal avance de sa ligne trop tôt...)

Mais vous faites pas la difference entre :
* Faire retirer un penalty réussi parce qu'un coéquipier du tireur est entré dans la surface trop tot
et
* Faire retirer un penalty manqué parce qu'un defenseur rentré trop tot dans la surface est le premier sur le ballon.



Bien sur que le premier cas est jamais sifflé, mais le deuxième l'est souvent.
D'ailleurs, moi aussi je peux jouer au jeu du "et si ma tante en avait..." :

Ce qu'on saura jamais, c'est si l'arbitre aurait fait retirer le péno si Zlatan avait tiré au dessus. Mais j'ai comme un doute...

Shaguar2_LeRetour a écrit :Mais vous faites pas la difference entre :
* Faire retirer un penalty réussi parce qu'un coéquipier du tireur est entré dans la surface trop tot
et
* Faire retirer un penalty manqué parce qu'un defenseur rentré trop tot dans la surface est le premier sur le ballon.



Bien sur que le premier cas est jamais sifflé, mais le deuxième l'est souvent.
D'ailleurs, moi aussi je peux jouer au jeu du "et si ma tante en avait..." :

Ce qu'on saura jamais, c'est si l'arbitre aurait fait retirer le péno si Zlatan avait tiré au dessus. Mais j'ai comme un doute...

Non, on fait pas la différence, sûrement parce qu'on est bien trop bêtes pour toi.
En fait, t'es en train de nous dire que si on est attaquants, on a le droit de courir très vite avant que le copain ait tiré le péno. Merci, j'aurais appris un truc aujourd'hui, et ptêt que je coucherai un tout petit moins bête grâce à toi.

maidenpsg a écrit :

gaelnedelec a écrit :

tetedemoteur a écrit :euh.. y avait aussi des parisiens dans la surface...

et dans ce cas là, tu siffles quand le gars rentre dans la surface, pas 10 secondes après que le goal ai arrêté le péno...

non, parce que si y'a but, même si le lyonnais entre dans la surface, l'arbitre valide le but
pour que l'arbitre fasse retirer le péno si il y a but, il aurait fallu que ce soit un parisien qui entre dans la surface en premier.
La règle est simple :
Zlatan rate et c'est un lyonnais qui entre en 1er dans la surface, péno à retirer
Zlatan marque et c'est un parisien qui entre en 1er dans la surface péno à retirer
Zlatan rate et c'est un parisien qui entre en 1er dans la surface, il ne se passe rien sauf si celui qui entre marque dans ce cas but refusé
Zlatan marque et c'est un lyonnais qui entre en 1er dans la surface but validé

XIII a écrit :Un moment il va falloir qu'ils revoient leur règle à la con !!! Ca n'influe en rien le tireur de rentrer sur un penalty !!! Surtout que le ballon ne revient pas du tout sur ibra. Ibra n'est pas du tout gêné d'avoir 5 mecs dans son dos lors du penalty.

Le ballon revient vers la droite, sur Bedimo qui entre en 1er dans la surface, empêchant ainsi Verratti d'arriver en même temps

Suite à l'interview, c'est pas lié aux joueurs rentrés dans la surface mais à Lopez qui s'est énormément avancé avant la frappe.

De toute façon c'est simple : on peut interpréter différemment ce qu'il s'est passé mais ça ne changera rien : Turpin a fait retirer le penalty et Zlatan a pu se rattraper et marquer.
Ce qu'il faut retenir juste c'est que Paris est bien aidé sur les deux derniers matches et qu'ils n'ont pu marquer que sur penalty.
Alors oui on peut dire que le PSG a dominé et s'est procuré plus d'occasions (j'ai d'ailleurs serré les fesses une grosse partie de la deuxième mi-temps), au demeurant ils n'ont pas réussi à en mettre un au fond dans le jeu. Les supporters parisiens diront mais oui mais Lopes était en feu etça serait rentré de toute façon à un moment ou à un autre.. euh ... le gardien fait partie intégrante d'une équipe non? donc bon il a tout arrêté et ça aurait pu continuer comme ça jusqu'à la fin.
C'est juste rageant de se prendre un but en application d'une règle qui n'est jamais respectée par les arbitres, puisqu'il regardent le tireur et le gardien, et pas les types qui poussent derrière pour rentrer le plus rapidement possible et tenter de récupérer le ballon si celui-ci est repoussé par le gardien.

Après je dis pas, au final c'est assez mérité ce match nul mais bon... vous pouvez vous inquiéter les supporters de Paris, de l'inefficacité de vos attaquants, parce que ça fait un moment que ça dure. j'espère que vous la retrouverez contre Chelsea...

Bravo, Monsieur l’arbitre

Ils avaient un point en commun. Supporters lyonnais et parisiens tremblaient à l’annonce de l’identité de l’arbitre en charge du choc de la 24ème journée de Ligue 1. Clément Turpin, 32 ans, actuel numéro 1 français, ne plait pas forcément à tout le monde, surtout chez les supporters qui finalement, apprécient assez peu les hommes au sifflet.
Clément Turpin avait beaucoup de pression au moment de donner le coup d’envoi de la partie. Parce qu’il devait diriger un choc du haut de tableau, et parce que les dirigeants de l’OL avaient jugé bon d’axer leur communication d’avant-match sur le comportement des parisiens à l’encontre des arbitres, pas assez sanctionnés à leur goût.
Comme dans tous les matches, il y a des faits de jeu qui peuvent amener des débats. Comme sur la main de Matuidi dans sa surface de réparation. Volontaire, involontaire ? Bras décollé, pas décollé ? Prend-il le ballon à bout portant ? Avait-il le temps de retirer son bras ? Tant de questions qui rendent le règlement sujet à appréciation.
Ici, je veux seulement revenir sur le pénalty qui fait tant débat. Clément Turpin a fait retirer Zlatan Ibrahimovic, qui avait manqué sa première tentative. Est-ce parce que des joueurs lyonnais avaient pénétré dans la surface avant que le suédois ne touche le ballon ? Parce que Anthony Lopes était déjà à 1 mètre de sa ligne au lieu d’être encore au-dessus lorsque le cuir a quitté le point de pénalty ? Ce sont en tout cas deux bonnes raisons de faire rejouer le coup de pied arrêté. Et l’arbitre d’hier a eu le courage de prendre cette décision. A Gerland, dans ce contexte, avec toute la pression naturelle d’un tel match. Il faut le saluer.

4 pénalty sifflés par C.Turpin Lopes ou Bédimo
Les lyonnais peuvent bien dire que c’est rare qu’un arbitre face retirer un pénalty pour ces raisons. Mais qui a tort ? Celui qui accepte que le règlement ne soit pas respecté, ou celui qui l’applique ? Comment les lyonnais peuvent-ils se plaindre de ce fait de jeu ? D’autant que les joueur de l’OL qui pénètrent dans la surface se trouvent du côté où Lopes repousse le ballon. Leur présence avancée influe donc sur la suite de l’action.
En clair, sur ce fait de jeu, il n’y a pas strictement rien à reprocher à Clément Turpin. Au contraire, il a eu le courage d’appliquer le règlement auprès de joueurs qui estimaient être au-dessus de celui-ci. Quand un arbitre fait une erreur, il y a du monde pour le signaler. C’est donc juste de souligner lorsqu’un fait de jeu est aussi bien géré, jusqu’à la gestion de l’énervement des lyonnais entre les deux tentatives.